(2) Relatif au Président Flores.
(3) Oscar Efrén Reyes, Breve Historia del Ecuador, Quito, 3ème, édition, 1949.
(4) Luis Robalino Dávila, García Moreno, Quito, Talleres Gráficos Nacionales, 1949.
«L’une des choses les plus épouvantables de ces régions équatoriales, des rives des fleuves et des marécages, écrit le voyageur, étaient les nuées de moustiques qui nous dévoraient et nous faisaient souffrir le martyre, au point de nous obliger à nous frotter le visage et les mains avec du jus de tabac. Le soir et la nuit ces myriades de petits insectes phosphorescents passaient d’un arbre à l’autre, l´arbre sur le quel ils se posaient devenaient subitement lumineux. Rien d’aussi curieux dans une nuit claire et tranquille des tropiques. Que d’observer ces essaims de moustiques incandescents qui volaient d’un point à l’autre».
View of the city of Quito, taken from the Couvent of San Juan, just previous to the late earthquake
« … Peu de temps après, nous nous trouvâmes devant la belle ville de Quito » (Dessin de de Miguel Yaulema, Paris, 1971)
«Les rives de terre ferme et l´embouchure du Guayas sont recouvertes des deux côtés d´une forêt de palétuviers, dont les racines traversent l´eau et vont s´enfoncer dans le fond de la mer, marécageux à cet endroit; et ces racines donnent naissance à d´autres arbres. À la tombée du jour, la cime de tous ces arbres couverts de lianes forment un magnifique tapis vert, sur lequel des myriades de flamants roses, d´aigrettes bleues et de perroquets de toutes les couleurs viennent se grouper par familles pour passer la nuit» (2).
(2) Idem., pp. 67-69.
(3) Idem., pp. 73-74.
(4) N.d.A. Bananiers qui produisent des bananes vertes à cuire.
(5) De Kerret, op. cit.; pp. 82-83.
« …, nous vîmes alors cette colonne de fumée. C´était beau, mais effrayant… (Dessin de Miguel Yaulema, Paris, 1971)
(7) Idem., pp. 50-52.
(8) Idem., p.86.
(9) Idem., p. 57.
(10) Idem., pp. 97-98.
(12) Idem.; p. 95.
(2) Voir note Nº1, p.28 de cet ouvrage.
Sur ce même sujet, voir:
Présentation du livre «Voyageurs Français en Équateur au XIXe siècle”