Comme nous l’avions annoncé lors de notre Présentation, «créer ce blog signifie également dialoguer. C’est pour cette raison que nous inclurons des collaborations d’autres auteurs qui, à travers ces notes sur l’archéologie et la diplomatie, illustrent notre seule intention: susciter en permanence un intérêt croissant envers l’Equateur».
–La mort sacrificielle : « Guásinton » (1938) de l’Equatorien José de la Cuadra
–Violence et désintégration de la personnalité dans Huasipungo de Jorge Icaza (1934)
–Désir féminin et passivité dans « Barraquera » (1932) de José de la Cuadra
–Du rapt fondateur au viol destructeur: les figures du viol dans Los Sangurimas de José de la Cuadra
–La satire, arme contre la barbarie équatorienne : Las Catilinarias de Juan Montalvo
–La preocupación higienista en la educación
–Révolution julienne (juillet 1925 – août 1931)
–Paris, mythe poétique équatorien : «Desde la capital de los MalGenioS» (2000) de Telmo Herrera